Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus, luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo.
Nullam quis risus eget urna mollis ornare vel eu leo. Nullam id dolor id nibh ultricies vehicula ut id elit. Sed posuere consectetur est at lobortis. Etiam porta sem malesuada magna.
Lorem ipsum dolor sit amet consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo. Sed posuere consectetur est at lobortis. Etiam porta sem malesuada magna.
Le journal Marianne le présente comme l’un des 5 économistes qui avaient annoncé la crise financière.
Avec Michel ROCARD, Stéphane HESSEL, Edgar MORIN, Cynthia FLEURY, Dominique MEDA et Curtis ROOSEVELT (le petit-fils de F.D. ROOSEVELT), Pierre crée le collectif ROOSEVELT 2012 qui propose 15 réformes pour un New Deal européen.
Constatant que le PS au pouvoir est incapable de reprendre les solutions qu’ils avancent, ils créent un nouveau mouvement politique, Nouvelle Donne. En 2014, Nouvelle Donne rassemblera un peu plus de 550.000 voix aux élections européennes.
Avec le climatologue Jean JOUZEL, vice-président du GIEC quand le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) a reçu le Prix Nobel de la Paix, il lance une initiative européenne pour obtenir un Pacte européen finançant la lutte contre le dérèglement climatique en Europe, en Afrique et sur tout le pourtour de la Méditerranée.
Il est choisi pour être l’un des 12 membres du Haut Conseil pour le Climat créé par Emmanuel Macron.
Il est élu député européen. Il siège dans le Groupe des Socialistes et des Démocrates. Il est membre de la Commission des Budgets et de la Commission des affaires sociales.
Il reçoit un blâme du bureau du Parlement car il y a fait entrer une trentaine de jeunes activistes pour le climat qui ont bruyamment rappelé l’urgence qu’il y a à agir.
Il est nommé Rapporteur général du Budget. Chaque année, le Parlement confie à un-e député-e la responsabilité de négocier le prochain budget avec le Conseil et la Commission.
Il est à l’origine de l’Appel des 700 « 3 solutions pour le climat et l’emploi ».
Le Parlement doit voter le rapport SEIP sur le financement du Green deal (Pacte Climat) dont Pierre est shadow-rapporteur. Ce texte rappelle que, pour gagner la bataille du Climat, il faut trouver chaque année quelques 600 milliards d’euros (privé et public confondus), ce qui suppose de stopper les investissements fossiles, de réorienter l’action de la BCE et de la Banque européenne d’Investissement (pour en faire une vraie Banque du Climat) et de dégager des moyens nouveaux pour aider chaque famille, chaque PME, chaque collectivité pour financer des travaux d’isolation, investir dans les transports en commun et les énergies renouvelables, transformer notre modèle agricole.
Dans l’hémicycle, devant la Présidente de la Commission européenne et les représentants du Gouvernement allemand, Pierre Larrouturou exprime clairement ses priorités : « Je suis Rapporteur général du Budget mais, en conscience, je ne pourrai pas voter le prochain budget si nous n’avons pas chaque année 50 milliards de plus pour la santé, le climat et l’emploi grâce à la Taxe sur les Transactions Financières. »
Il entre en grève de la faim pour mettre pression sur le Conseil européen dans le but que les chefs d’Etat et de gouvernement accepte enfin l’introduction d’une Taxe sur les Transactions Financières intégrale qui permettrait d’abreuver le budget européen avec plus de 50 milliards d’euros par an « pour la Santé, le Climat et l’Emploi » en taxant la spéculation.